Questions fréquement posées

01. Est-ce que j’ai vraiment besoin d’une thérapie ?
Il n’est pas toujours facile de savoir quand consulter, mais certains signes peuvent indiquer qu’un accompagnement thérapeutique serait bénéfique. Par exemple :
Vous vous sentez souvent anxieux, triste, vide ou dépassé.
Vous vivez une période de crise (deuil, séparation, burn-out, changement de vie…).
Vous avez du mal à comprendre ou à exprimer ce que vous ressentez.
Vous répétez des schémas qui vous font souffrir (dans les relations, au travail…).
Vous vous sentez bloqué, perdu, ou coupé de vous-même.
Vous ressentez un mal-être sans en identifier clairement la cause.
Vous avez envie de mieux vous connaître, de vous sentir plus libre intérieurement.
Consulter un thérapeute ne veut pas dire que l’on est « fou » ou « faible ». C’est un pas courageux vers soi, pour mieux vivre avec ce que l’on porte, retrouver du sens, et avancer à son rythme.
02. Comment savoir si je choisis le bon thérapeute ?
Le bon thérapeute n’est pas forcément celui qui a la « meilleure méthode », mais celui avec qui vous vous sentez suffisamment en confiance pour parler librement et vous sentir accueilli(e) sans jugement.
Voici quelques repères qui peuvent vous guider :
Vous vous sentez écouté(e), respecté(e) et compris(e).
Le cadre est clair : fréquence, durée, confidentialité, honoraires.
Vous pouvez poser des questions sur la manière de travailler du thérapeute.
Vous sentez qu’il y a un lien humain, même si tout ne se dit pas tout de suite.
Après quelques séances, vous commencez à ressentir un espace intérieur plus ouvert, même si certaines émotions peuvent être remuées.
03. Que va-t-il se passer lors de la première séance ?
La première séance est l’occasion de recueillir les informations principales , les antécédents personnels, familiaux, médicaux, permettant de mieux comprendre la situation actuelle et de choisir un rythme de séance notamment.
04. Combien de temps dure une thérapie ?
La durée dépend du besoin, si le besoin est ponctuel lié à un choc émotionnel quelques séances suffisent, si le besoin est plus général, un accompagnement peut se faire sur plusieurs mois.
05. Est-ce que je vais devoir parler de mon passé ?
Le passé permet de mettre un sens et d’avoir un fil conducteur mais les méthodes que j’utilise, notamment l’Intelligence Relationnelle® permettent d’être directement au coeur du sujet émotionnellement parlant sans avoir à en raconter nécessairement longuement les contours.
06. Vais-je devoir parler de choses très intimes dès le début ?
La thérapie est le lieu pour aborder les sujets dont vous avez envie d’aborder uniquement surtout au début. La thérapie évolue surtout à votre rythme.
07. À quelle fréquence faut-il venir ?
La fréquence est à définir ensemble, il est parfois utile de se voir plus fréquemment au début, pour ensuite espacer les séances.
08. Combien coûte une séance ?
70 euros
09. Est-ce remboursé ?
Les séances peuvent être remboursées par votre mutuelle selon votre contrat.
10. Est-ce confidentiel ?
Tout ce qui est abordé au sein du cabinet est strictement confidentiel
11. Et si je ne vais pas mieux ?
Dans le cadre de mon accompagnement je reste toujours ouverte à la possibilité de vous orienter vers une personne thérapeute ou médecin qui serait à même d’aider à votre rétablissement.
12. Vais-je devoir revivre des choses douloureuses ?
Le propre des séances de thérapie en Intelligence Relationnelle® est justement de pouvoir vivre des émotions en lien et en sécurité qui n’ont pas pu être vécu avec des personnes sécurisantes par le passé. C’est ce lien de sécurité qui permet la guérison.
13. Pourquoi je ressens de la résistance ou de la peur d’y aller ?
Il est tout à fait normal de ressentir une forme de résistance à consulter un thérapeute. Cette résistance peut venir de plusieurs endroits : peur de souffrir, de remuer des choses enfouies, de ne pas être compris, ou simplement de changer. Notre psychisme a parfois mis en place des protections (mécanismes de défense) pour nous aider à tenir face à la douleur. Aller en thérapie, c’est s’ouvrir à l’idée de rencontrer ces parties de soi, ce qui peut être inconfortable, voire effrayant. La résistance n’est pas un obstacle, elle fait souvent partie du chemin thérapeutique. La reconnaître, c’est déjà commencer à l’accueillir… et peut-être à s’en libérer un peu.
14. Quand vais-je commencer à sentir un changement ?
Quelques séances peuvent déjà faire sentir un changement dans le bien être général et dans le corps.